Ils ont pour nom Arnaldur Indriðason, Árni Þórarinsson, Jón Hallur Stefánsson : les nouveaux chefs de file de la littérature islandaise. En vingt ans, ils ont imposé un genre nouveau, inconnu jusqu'alors dans l'île : le polar. Osé, alors que les meurtres sont quasi-inexistants en Islande.
Et le public suit. Sous couvert d'enquêtes policières, ou journalistiques, les trois auteurs dévoilent tout un pan de la société islandaise. Cette Islande bien éloignée des cartes postales, plus sombre, souvent rongée par l'alcool et la drogue.